Atelier

Fondé en 2016 et désormais implanté à Paris et Vannes, FIGURES est le fruit de la collaboration entre Charlotte Billon, Thomas Bouchet et Brice Launay architectes.

Partageant une vision engagée de l’architecture, leur travail démontre une exigence et une méthodologie conjuguant rigueur et précision.

Traitant tous types de programmes avec un intérêt et un investissement égal, FIGURES privilégie une architecture aux réponses formelles lisibles et maîtrisées. Bien qu’hétérogènes dans leurs programmations, échelles et contextes, leurs projets témoignent d’une volonté de construire un ensemble cohérent et continu dans le temps. L’enjeu étant la mise en oeuvre au long terme d’un mode de pensée, d’une démarche de projet.

À ces fins, ils développent en réponse aux contraintes et points d’intérêts identifiés une forme de rationalisme architectural où les éléments sont réduits aux fondamentaux et leurs déclinaisons.

Enfin, convaincus que leur génération doit accompagner une évolution en profondeur de la société, du territoire et de l’environnement, ils défendent une approche environnementale détachée de la seule satisfaction normée. C’est l’ensemble des vecteurs de qualité architecturale que sont la maîtrise énergétique, l’attachement au confort d’usage, la pérennité et l’origine des matériaux et l’intemporalité de l’architecture qui constitue leur approche du développement durable.

En 2019, Figures est lauréat du prix 40 under 40 décerné à Thomas Bouchet par The European Centre for Architecture Art Design and Urban Studies à 40 jeunes architectes européens prometteurs.

News

Projets

• Création d’un café-coworking à Paris 10 (75)
• Restauration, programmation et aménagement de la Petite Bibliothèque Ronde d’Atelier Montrouge à Clamart (92)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Petite bibliothèque ronde, d’Atelier Montrouge à Clamart (92)

  Equipement culturel

  Livraison : 2027
  Procédure adaptée / Equipe retenue
  Etudes en cours
  Maîtrise d’ouvrage publique : Vallée Sud Grand Paris (92)
  Surface hors d’œuvre brute : 724 m²
  Budget : 5 000 000 € ht

  Intervenants

  Architecte mandataire : Pierre-Antoine Gatier
  Architectes associés – scénographes : Figures et Jean-Benoit Vetillard
  Programmiste : AG studio
  Graphistes : Atelier Lebleu
  BET structure : Atelier Ergon
  BET fluides / ssi : Nepsen
  BET acoustique : Studio DAP
  Economiste : Cabinet Plité

  Collaborateur.rice.s

  Alexandre Adnane, Marius Entemeyer, Louis Mounis, Jade Soria.

  La Petite Bibliothèque Ronde de Clamart, classée Monument Historique depuis 2009, est bien plus qu’une simple bibliothèque pour enfants. Imaginée en 1965 par les architectes de l’Atelier de Montrouge, sa structure tout en rondeurs évoque une maison de contes de fées. Son mobilier, également protégé depuis 2007, s’intègre parfaitement à cet espace pensé pour l’autonomie des enfants, selon la pédagogie Freinet.

  À l’origine de ce projet visionnaire, on trouve Anne Gruner-Schlumberger. En créant l’association La Joie par les Livres, elle a rêvé d’un lieu où la lecture serait accessible à tous les jeunes. Elle a conçu la Petite Bibliothèque Ronde comme un véritable lieu de vie, au cœur d’une cité-jardin du Petit-Clamart qui manquait alors d’équipements collectifs. En 2007, l’association La Petite Bibliothèque Ronde, créée par sa famille et Geneviève Patte, a repris la gestion de l’institution, perpétuant cette mission. Depuis 2018, l’association a déménagé pour permettre la rénovation de l’ensemble patrimonial.

  A l’avenir, la Petite Bibliothèque Ronde continuera de remplir ses fonctions traditionnelles, en proposant un large choix de livres et des espaces de lecture confortables. Etendu par la réappropriation des vides sanitaires et la proposition d’un pavillon extérieur déployable ; c’est aussi un lieu hybride qui propose une multitude d’expériences culturelles et éducatives au-delà du simple prêt de livres. Grâce à ses espaces fluides et modulables, la bibliothèque se transforme au gré des activités. Des ateliers artistiques, des lectures à voix haute, des spectacles et des expositions y sont organisés, encourageant l’exploration et l’apprentissage par le jeu. Le concept d’“affordance” guide le réaménagement intérieur prévu : le mobilier léger et mobile est conçu pour suggérer intuitivement son usage, permettant à une zone de consultation de se métamorphoser rapidement en salle de spectacle ou d’exposition. Cette approche permet une superposition harmonieuse des usages et offre une grande liberté aux enfants et aux professionnels, faisant de la bibliothèque un espace vivant et en constante adaptation.

  Les aménagements intérieurs conçus sous forme de boite à outils pour La Petite Bibliothèque Ronde intègrent des éléments mobiles, flexibles et techniques permettant de transformer les espaces au gré des usages et des événements.
  Des rideaux coulissants, permettent de moduler les volumes, d’isoler des zones de lecture ou de créer des ambiances immersives à l’acoustique intégrée.

  Les régies mobiles jouent un double rôle : elles offrent une capacité de stockage de proximité, accessible au personnel uniquement et peuvent se transformer en supports d’affichage, de signalétique ou de présentation lors d’ateliers, d’expositions ou de rencontres.

  Une structure scénographique suspendue ou posée – indépendante des aménagements historiques conservés – complète le dispositif.

  L’aménagement intérieur en complément ou en alternative au mobilier historique d’Alvar Aalto se
  déploie également sous forme de mobilier ludique et modulable, imaginé comme une invitation à explorer l’espace autrement.
• Création d’un espace événementiel à Paris 04 (75)
• Rénovation d’un appartement à Paris 10 (75)
• 2024
• Extension, rénovation et scénographie du Musée Mémorial Pegasus à Ranville (14)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Extension, rénovation et scénographie du Musée Mémorial Pegasus à Ranville (14)

  Musée & scénographie d’exposition

  Livraison : 2027
  Lauréat du concours
  Etudes en cours
  Maîtrise d’ouvrage publique : Comité du débarquement
  Surface plancher : 1170 m²
  Budget : 5 000 000 € ht

  Intervenants

  Architecte mandataire : Figures
  Architecte associé : Jean-Benoit Vetillard Architectures
  Amo & Programmiste : Kantara
  Opc : IGC
  Paysagiste : Acmé
  Graphisme & signalétique : Amélie Lebleu
  BET structure : E.V.P.
  BET fluides & environnemental : Maya
  BET v.r.d. : Atève
  BET acoustique : Eckéa
  Economiste : Eco+construire
  Eclairagiste : Abraxas

  Collaborateur.rice.s

  Louis Dubrel, Louis Mounis, Alex Roux.

  Crédits photos

  Figures

  Le Musée Mémorial Pegasus, situé entre le canal de Caen à la mer et l’Orne, est un lieu de mémoire et d’histoire qui s’ouvre sur un paysage riche. Le projet vise à transformer l’expérience de la visite en créant un parcours immersif et continu, ancré dans son environnement. Plutôt qu’une simple extension, la stratégie propose une revalorisation de l’existant en conservant le bâtiment iconique et en y ajoutant une nouvelle structure d’accueil et d’administration.

  Le projet repense le parcours de visite pour qu’il soit unifié ; la scénographie ne se limite pas aux murs du musée. La visite démarrera désormais à l’extérieur, dès le parking, en guidant les visiteurs vers un point d’observation du pont Pegasus. Cette approche permet une immersion plus intimiste, loin de la route, et établit une connexion directe avec les sites historiques d’atterrissage des planeurs Horsa, qui faisaient partie des opérations du Jour J.

  Le parcours se déploiera en séquences thématiques continues, alternant entre extérieur et intérieur. Le bâtiment existant sera entièrement dédié à l’exposition, tandis qu’une nouvelle construction accueillera l’administration, l’accueil, les expositions temporaires et les espaces de médiation. Cette approche vise à offrir une expérience plus pédagogique et sensitive, où le visiteur ne fait plus deux visites distinctes mais un seul grand parcours qui relie le bâtiment à son environnement naturel et historique.

  La conception du projet repose sur la valorisation du bâtiment existant, qui est symbolique et apprécié du public. Plutôt que de l’agrandir ou de le modifier, il sera conservé dans sa forme actuelle. Son enveloppe extérieure restera inchangée, ce qui représente un choix stratégique pour des raisons financières, techniques et environnementales. Seules les performances thermiques seront améliorées, et les sanitaires seront déplacés pour s’intégrer au nouveau parcours.

  Le nouveau bâtiment se veut complémentaire, en offrant des espaces modernes et flexibles tout en respectant l’histoire et l’architecture du musée d’origine. Cette stratégie permet de répondre aux besoins du mémorial tout en minimisant l’impact écologique et en préservant l’identité visuelle du lieu, qui dialogue déjà bien avec les grands objets exposés à l’extérieur. L’ensemble créera un parc paysager unifié qui dépasse les limites initiales de la parcelle, proposant un regard neuf sur le site des opérations du 6 juin 1944.
• Transformation d’anciens Ateliers en campus et siège social d’une entreprise à Paris 11 (75)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Transformation d’anciens Ateliers en campus et siège social d’une entreprise à Paris 11 (75)

  Equipement tertiaire

  Livraison : 2026
  Commande directe
  Chantier en cours
  Maîtrise d’ouvrage privée : NC
  Surface plancher : 1400 m²
  Budget : NC

  Intervenants

  Architecte mandataire : Figures
  Amo : C+M
  Moex : C+M
  BET structure : Bost
  BET TCE : C+M
  Economiste : Altereco
  Entreprise Générale : Demathieu & Bard

  Collaborateur.rice.s

  Alex Roux, Jean Thouin.

  Crédits photos

  Figures

  L’opération consiste en la restructuration en cœur d’ilot d’un ensemble immobilier hétérogène comprenant plusieurs constructions d’anciens ateliers existants, ainsi que la création de nouveaux volumes. La création d’un volume contemporain à la jonction des deux parcelles et des deux typologies de bâtiments, associée à la transformation d’une toiture inclinée en terrasse accessible au R+2, permet de réorganiser les circulations, de connecter les espaces et d’optimiser les flux internes, assurant ainsi un fonctionnement cohérent et conforme à la réglementation incendie.

  Bien qu’invisibles depuis l’espace public, un soin particulier sera apporté à la composition et au traitement des façades neuves, ainsi qu’à la finition de la toiture, considérée comme la « cinquième façade ». Pour le bâtiment en R+2 conservé, typique du tissu parisien et faubourien, les façades porteuses à pans de bois enduites et les menuiseries hétérogènes témoignent des différentes époques de rénovation. Il est prévu la reprises des ossatures pans de bois, le ravalement des enduits et le remplacement de l’intégralité des menuiseries extérieures par des éléments neufs, respectant les contraintes thermiques, acoustiques et de résistance au feu. Les nouveaux ensembles, présenteront des huisseries fines harmonisées en acier et aluminium à rupture thermique, finition thermolaquée.

  Concernant l’extension contemporaine, la façade principale présente une écriture architecturale sobre et intemporelle, évocatrice des verrières d’atelier, et valorisant la superposition des strates : structure porteuse en bois massif exprimant les efforts mécaniques, en second plan, et façade rideau vitrée, au premier plan. Les parties pleines et habillages seront traités en zinc pré-patiné avec façon d’ondulations. L’ensemble rideau/structure agit comme un filtre visuel révélant la monumentalité d’un escalier sculptural en demi-cercle.

  Les plateaux des deux niveaux de bureaux sont aménagés selon un plan libre après renfort et mise en valeur des structures bois conservées. Les combles sont récupérés et enrichis d’une verrière un pan linéaire au faitage. Traités avec sobriété chaque open-space est cadré de part et d’autre par des aménagements menuisés caractérisés par leurs lasures colorées. Ceux-ci accueillent des espaces dédiées aux réunions à 2, 4 et plus et des cabines d’isolement à usage de télé/visiophonie. Ils développent également les volumes dédiés aux tisaneries et blocs sanitaires.

  Le projet vise à trouver un équilibre entre intervention contemporaine et respect du contexte urbain faubourien, en privilégiant l’intégration volumétrique et la qualité des matériaux employés.
• Restructuration d’une ancienne biscuiterie en bureaux, espaces de coworking, ateliers à Paris 10 (75)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Restructuration d’une ancienne biscuiterie en bureaux, espaces de coworking, ateliers à Paris 10 (75)

  Equipement tertiaire

  Livraison : 2026
  Commande directe
  Chantier en cours
  Maîtrise d’ouvrage privée : Asgard Group
  Surface plancher : 1800 m²
  Label BBCA Rénovation & BREEAM very good
  Budget : 6 700 000 € ht hors injections & curage, dépollution

  Intervenants

  Architecte mandataire : Figures Architectes
  Amo : Jll
  Moex : Codalis
  BET structure : Scyna4
  BET fluides/thermique : Jll Ingénierie
  BET ssi : Batiss
  BET acoustique : Eckéa
  Economiste : BMF conseil
  Entreprise Générale : Colas rénovation

  Collaborateur.rice.s

  Lucie Daum, Louis Dubrel, Emma George, Alex Roux, Jean Thouin.

  Crédits photos

  Jean Marie Dufour

  Ce projet de restructuration vise à transformer un ensemble immobilier situé  à Paris 10 tout en préservant son héritage historique. L’opération comprend la démolition de certaines parties en rez-de-chaussée et la création de nouvelles constructions en extension, surélévation.

  Le bâtiment, accessible par une cour intérieure depuis la rue du Faubourg Saint-Martin, a connu de multiples vies.

  A la fin du XIXe l’entreprise Scapini y installe une fabrique de biscuits, dont les bâtiments sont si emblématiques qu’ils figurent sur ses publicités et boîtes de gâteaux.

  Le site est transformé au début du XXe siècle pour devenir le siège d’une compagnie d’assurances, le Syndicat de garantie de l’entreprise et de l’industrie, qui y fait construire l’immeuble visible aujourd’hui sur le boulevard de Strasbourg. Les locaux sont ensuite acquis par la Caisse Nationale d’Épargne, puis par les P.T.T. (Postes, Télégraphes et Téléphones), qui y installent un bureau de Poste. Au XXIe siècle le bâtiment est morcelé et la verrière de l’ancienne usine est couverte. Les plateaux d’ateliers, datant de 1889, ont traversé les décennies, s’adaptant à de nouveaux usages, témoignant de leur grande flexibilité.

  Le projet de restructuration lourde et d’extension engagé en 2025 respecte l’identité architecturale du site tout en intégrant des éléments contemporains. Il permet une réappropriation du sous-sol existant  par la création de deux niveaux de cour intérieure et un désenclavement de ces espaces.

  Les façades des bâtiments existants seront rénovées avec une approche patrimoniale respectueuse. Les ravalements sont prévus en enduit chaux-sable clair pour conserver leur harmonie visuelle. Toutes les menuiseries extérieures disparates, seront remplacées par des ensembles en aluminium qui restituent les compositions d’origines. Les ossatures métalliques apparentes seront décapées et repeintes. Les toitures existantes en zinc seront remplacées et de nouvelles lucarnes parisiennes seront créées pour améliorer la luminosité.

  L’aile contemporaine, donnant sur la cour, présentera une façade en céramique émaillée de couleur verte. Fabriquée par l’entreprise artisanale Rairies Montrieux cette façade aura un aspect brillant et des nuances subtiles. Cette teinte vive est proposée pour renforcer l’ambiance végétale de la cour.

  Le projet met l’accent sur la végétalisation et la perméabilité des espaces extérieurs. Les pavés existants seront réemployés sur un lit de sable pour permettre la pousse de graminées et de plantes buissonnantes. Un arbre sera planté dans la cour et des toitures végétalisées et toiture terrasse accessibles seront mises en œuvre sur les parties surélevées. .

  L’ensemble de l’opération vise ainsi à atteindre un équilibre harmonieux entre respect du patrimoine et adaptation aux usages contemporains, en créant un lieu à la fois fonctionnel, esthétique et respectueux de son environnement urbain.
• 2023
• Salle socio-culturelle de La Norville (91)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Salle socio-culturelle de La Norville (91)

  Equipement social et culturel

  Livraison : 2023
  Maitrise d’ouvrage publique : Commune de La Norville
  Surface de planchers : 296 m²
  Budget : 900 000 € ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures
  Architecte associé : Depeyre Morand Architectures
  BET Structure : Ginko
  Economiste : Betim’éco
  BET Fluides : Ginko

  Collaborateur.rice.s

  Victorien Pourias

  Crédit photo

  ©Giame Meloni, ©Brigitte Bouillot

  Le projet porte sur la construction neuve d’une salle des fêtes sur la commune de La Norville. Le bâtiment est destiné à accueillir des évènements municipaux et privés comme des brocantes, des expositions, des mariages, etc. Il est voué à devenir un lieu de lien social et de création de mémoire collective pour les habitants de la Norville.

  Notre proposition pour la salle polyvalente de La Norville est un complexe dynamique et innovant, ouvert sur son environnement, capable de proposer des espaces complémentaires et modulables. Le projet a pour vocation d’offrir à la communauté un outil performant en harmonie avec les différents usages, événementiels, artistiques, festifs, culturels, associatifs, professionnels, aux exigences diverses, et tirant parti des qualités paysagères du site.

  Le plan se compose en trois volumes, deux ailes techniques encadrent au nord et au sud la grande salle.
  La salle polyvalente en elle-même est conçue comme le volume structurant du bâtiment, le cœur névralgique du projet. Orientée Est-Ouest et bénéficiant de lumière naturelle et de vues traversantes, sa façade d’entrée s’ouvre vers le parvis et le bois en arrière plan. À l’opposé, sa façade Est s’ouvre et s’étend vers l’espace vert planté avec le paysage agricole au second plan. Elle trouve ainsi sa fonction autant
  dans des événements de halle de village que d’espace pouvant accueillir des mariages ou des séminaires.

  Les deux blocs techniques au Nord et au Sud sont en structure béton coulée en place. Les voiles apparents à l’extérieur sont poncés, rendant ainsi visible le granulat qui les constitue. À l’intérieur ils se muent en une structure poteau/poutre. L’ensemble encadre la salle et sert d’appui à la charpente bois qui à la manière d’une halle va couvrir le volume en laissant sa surface au sol libre de toute retombée structurelle.
• Club house et vestiaires sportifs de la Roche-sur-Foron (74)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Club house et vestiaires sportifs de la Roche-sur-Foron (74)

  Equipement sportif

  Livraison : septembre 2023
  Procédure adaptée / Equipe retenue
  Maîtrise d’ouvrage publique : ville de la Roche sur Foron (74)
  Surface hors d’œuvre brute : 455 m²
  Budget : 1 485 000 € ht

  Intervenants

  Architecte mandataire : Y architectes
  Architecte associé : Figures
  BET structure : Bost ingénierie
  BET fluides / ssi : Cotib
  Economiste : Altereco

  Collaborateur.rice.s

  Victorien Pourias

  Le projet est divisé en deux entités, implantées de part et d’autre du micro-parvis d’accès principal à l’équipement. En compatibilité avec les éléments de surfaces du programme, deux bâtiments en ainsi été conçus, le Club-House du FC Foron d’une part et les vestiaires d’autre part.

  Notre proposition prévoit la création d’une coursive parallèle à la limite de fond de terrain qui permet de desservir tous les accès aux bâtiments, de manière commune aux arbitres, entraîneurs, aux parents accompagnateurs aux équipes du FC foron et aux équipes adverses. Elle dessert un premier bloc comprenant les vestiaires arbitres/entraîneurs, les locaux communs associés et les locaux techniques et un deuxième bloc réservés aux vestiaires joueurs et sanitaires. Fermée par un portillon pour créer une zone hors d’atteinte du public pendant les matchs, elle sert également de « tunnel » d’accès protégé jusqu’à l’angle Nord-Est du terrain, permettant d’occuper l’extrémité triangulaire de la parcelle. La partie Ouest de cette coursive est dédiée spécifiquement au club house qu’elle dessert et a pour usage principal celui de terrasse couverte.

  La zone club house est divisée en une bande technique qui rassemble toutes les pièces de service au Nord côté rue pour ainsi dégager une salle au volume généreux et entièrement vitrée sur trois faces dont la façade sur stade. Le projet envisage de développer une zone terrasse non couverte sur la partie restante Ouest de la bande d’implantation du projet dans le prolongement du volume de la grande salle. Le bar accessible de l’intérieur et de l’extérieur est à l’interface de ces espaces.

  Les murs de façades doivent offrir une durabilité dans le temps et une résistance optimale. C’est par le biais d’une voile béton sablé et animé par des modénatures lisses en soubassement et en encadrement de baies qu’est assumée la finition extérieure. La toiture qui unifie les deux volumes en un seul ensemble est de conception végétalisée, plantée d’une prairie d’essences endémiques en pleine terre. La récupération des eaux de pluies après drainage et rétention est également prévue pour l’alimentation des toilettes et l’arrosage du terrain. Une zone est réservée à la création d’une ferme photovoltaïque en toiture.

  La création des coursives est proposée en structure acier galvanisé et couverture zinc. Ce traitement de toiture également appliqué en bardage d’acrotères permet de contraster en légèreté et en teinte avec la sobriété du béton des façades. Les poteaux des coursives, prolongés jusqu’à 6m de hauteur permettent la mise en place d’un filet pare-ballon dont la large maille sportive laisse transparaître le bâtiment en arrière plan. Il est enfin envisagé la mise en œuvre de menuiseries extérieures en bois lasuré dans une teinte coordonnée à la structure métallique des coursives. En contraste avec la minéralité des sols et des façades, ce choix accentue la sobriété évoquée et fait le lien entre tradition et modernité constructive.
• Restructuration et extension de bureaux à Paris 11 (75)
• 2022
• Construction d’un Monument mémoriel à Schirmeck (67)
  

  

  

  

  

  

  

  

  Construction d’un monument mémoriel à Schirmeck (67)

  Monument

  Concours : 2022 – Non retenu
  Maitrise d’ouvrage publique
  Surface utile : 160 m²
  Budget : 1 150 000 € ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Dratler Duthoit
  Architecte associé : Figures
  Muséographe : Kantara
  Signalétique : Studio Lebleu
  Multimédia : Lundi8
  BET Structure : Mcis
  Economiste : Echoes
  BET Techniques : Imaee
  BET Structure : Mcis
  Acoustique : Ingemansson

  Collaborateur.rice.s

  Eva Simon Thomas
• Construction d’une maison à Vannes (56)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Construction d’une maison à Vannes (56)

  Habitat individuel

  Livraison : 2025
  Maitrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 255 m²
  Budget : 600 000 € ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures
  Bureau d’étude thermique : Keeplanet

  Collaborateur.rice.s

  Lucie Daum
• Transformation d’une ferme en maison d’habitation à Megève (74)
• Transformation d’une maison en collectif de 3 logements à Bron (69)
• Transformation d’un hôtel particulier en collectif de 5 logements et bureaux à Vannes (56)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Transformation d’un hôtel particulier en collectif de 5 logements et bureaux à Vannes (56)

  Habitat collectif

  Livraison : 2022
  Maitrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 500 m²
  Budget : 900 000 € ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures

  Collaborateur.rice.s

  Claire Gouze
• 2021
• Transformation d’une maison de maitre en collectif de 5 logements à Vannes (56)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Transformation d’une maison de maitre en collectif de 5 logements à Vannes (56)

  Habitat collectif

  Livraison : 2024
  Maitrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 725 m²
  Budget : 1 800 000 € ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures

  Collaborateur.rice.s

  Maria Bouchafaa
• Extension d’une maison à Arradon (56)
• Rénovation d’un appartement à Paris 15 (75)
• Rénovation d’un appartement à Paris 18 (75)
• Extension d’une maison à Rillieux-la-Pape (69)
• Transformation d’un corps de ferme en maison d’hôtes à Quiberon (56)
• 2020
• Réagencement d’un appartement à Lyon 8 (69)
• Série 02
  

  

  

  

  
• Extension réhabilitation d’une maison à Chantecoq (45)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Extension réhabilitation d’une maison à Chantecoq (45)

  Habitat individuel

  Livraison : projet suspendu
  Maitrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 95 m² (extension), 45 m² (transformation)
  Budget : 200 000€ ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures

  Collaborateur.rice.s

  Louis Chesse

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• Extension-surélévation d’une maison à Lyon (69)
• Extension d’une maison à Bois-le-Roi (77)
• Rénovation d’une maison à Romainville (93)
• Rénovation d’une maison à Saint Genix Laval (69)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Rénovation d’une maison à Saint Genix Laval (69)

  Habitat individuel

  avril 2020 : Esquisse
  Projet suspendu (PRO)
  Maîtrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 297 m²
  Budget : 100 000€ ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures

  L’enveloppe de la maison existante a fait l’objet d’une rénovation énergétique et thermique récente, ravalement de façade, isolation par l’extérieur, chaudière bois. Elle est néanmoins toujours divisée en deux appartements résultants d’une précédente vocation locative. Le maitre d’ouvrage actuel occupe l’étage seulement et souhaiterait déplacer l’ensemble des espaces de vie et la suite parentale au rez-de-chaussée afin de bénéficier plus amplement de la relation au jardin.

  Située en zone naturelle, le terrain de 3600m² est vallonné et planté d’arbres majestueux qui appartiennent à un espace boisé classé. Le projet est destiné à reconnecter les espaces intérieurs au paysage.

  Le projet développe trois strates au rdc, soit un espace de vie ouvert et lumineux à l’Ouest séparé d’un espace privé intime à l’Est par un axe de circulation structurant.

  A l’étage l’espace libéré par l’ancienne cuisine, le salon et la salle manger deviennent un terrain de jeu hybride et appropriable. L’agencement y est ludique et mobile pour permettre à l’espace de se transformer en espace de détente, de lecture, de projection, de télétravail ou de jeu.
• 10 Logements collectifs à Provins (77)
• 2019
• Résidence étudiante de 21 chambres à Villeurbanne (69)
  

  

  

  

  

  

  

  

  Résidence étudiante de 21 chambres à Villeurbanne (69)

  Logements collectifs

  novembre 2019 : Etude de faisabilité / esquisse
  opération en cours de financement
  Maîtrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 530 m²
  Budget : 831 000 € ht (1567€ ht/m²)

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures
  

  Le projet répond à la demande de reconversion d’une habitation individuelle désuète. Après rachat du terrain et de la maison existante en SCI, il s’agit de revaloriser le bien, changer sa destination et développer l’emprise foncière. Le programme prévoit la transformation de la maison existante en 13 chambres étudiantes et la création d’un bâtiment neuf de 8 chambres. Les unités sont comprises entre 18 et 25m² et sont toutes équipées de salles d’eau, wc et mini-cuisines.

  Malgré les contraintes de l’existant, le projet cherche à rationaliser et optimiser au mieux les unités de vie. Les appartements sont desservis par un système de coursives périphériques développé aux emplacements d’anciens balcons réunis en un unique ruban continu.

  Ce système de circulation s’inscrit dans les espaces collectifs proposés aux résidents : jardins partagés, stationnement vélo, parking visiteurs, chaufferie collective et laverie.
• 80 logements collectifs à Epernay (51)
• Restructuration de l’auberge de jeunesse Jules Ferry à Paris (75)
• Rénovation et extension d’une maison à Saint Cloud (92)
• La Briqueterie, salle socio-culturelle et vestiaires sportifs de Dizy (51)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  La Briqueterie, création d’un centre socio-culturel et sportif à Dizy (51)

  Centre socio-culturel et sportif

  Mars 2018 : Concours restreint / Projet lauréat
  Projet suspendu (DCE)
  Maîtrise d’ouvrage publique : Commune de Dizy (51)
  Surface de planchers : 1047 m²
  Budget : 2 024 000€ ht (1933€ ht/m²)

  Equipe

  Architecte mandataire : association libérale Bureaux (Vetillard / Figures / Descotes architectes)
  Bureau d’étude structure/cvc : Groupe GNAT
  Economiste : Groupe GNAT
  Bureau d’étude cfo/cfa/ssi : BETELEC
  Bureau d’étude acoustique : VENATHEC

  Collaborateur.rice.s

  Claire Gouze, Monica Klink

  Le programme de rénovation et extension du centre socio-culturel et sportif de Dizy regroupe deux pôles distincts destinés autant à cohabiter en émulation qu’à fonctionner en autonomie.

  La partie dédiée aux installations de vestiaires sportifs reconvertit le bâtiment existant de l’ancienne salle polyvalente par la construction intérieure de nouveaux volumes désolidarisés. Le programme dédié au nouveau centre socio-culturel et à l’accueil du public se situe dans un bâtiment neuf dédié. Ce dernier présente une volumétrie allongée avec une toiture double pente en débord contrastant avec le volume monolithique du bâtiment existant.

  A l’Est, de leur association découle un dialogue volumétrique riche. Leur interconnexion par la création d’un porche signifie l’accès au site de façon évidente. Il dessert l’ensemble des programmes de l’équipement et fonctionne comme une rue intérieure pour mener aux terrains de football attenants. A l’Ouest, le bâtiment offre un long front bâtit en dialogue avec le grand paysage et les coteaux.

  L’ensemble du projet présente des façades unifiées par un enduit, de larges ouvertures et un sous-bassement minéral en béton teinté. Ce dernier est une assise linéaire et périphérique il s’apparente à des gradins et qualifie les espaces avec lesquels il est en relation. C’est une généreuse assise côtés parvis et porche, et un tribune appréciée face au stade de foot. Le projet ambitionne non seulement de répondre aux attentes de son programme mais également de les dépasser en étant un outil communautaire performant, ouvert aux usages et à l’appropriation.
• Transformation d’une maison en collectif de 2 logements à Bron (69)
• Réagencement d’un appartement à Paris 19 (75)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Réagencement de l’appartement Bou à Paris 19 (75)

  Habitat individuel

  Livraison : Décembre 2019
  Maitrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 72 m²
  Budget : 85 000€ ht (1180€ ht/m²)

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures

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• Salle socio-culturelle de Mourmelon le Petit (51)
  

  

  

  

  Salle socio-culturelle de Mourmelon le Petit (51)

  Equipement social et culturel

  Concours : 2018
  Maitrise d’ouvrage publique : Ville de Mourmelon
  Surface de planchers : 650 m²
  Budget : 1 300 000€ ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures
  Architecte associé : Pierre Arnaud Descotes
  Bureau d’étude structure/cvc : Groupe GNAT
  Economiste : Groupe GNAT
  Bureau d’étude cfo/cfa/ssi : BETELEC
  Bureau d’étude acoustique : VENATHEC

  Collaborateur.rice.s

  Louis Chesse
• 2018
• Table marbre, série 1
  

  

  

  

  Design mobilier

  Janvier 2014 : Premier de série
  Maîtrise d’ouvrage privée : NC
  Budget : NC

  Equipe

  Designer : Bouchet & Launay Figures
  Fabrication : Marbrerie de Vitry

  Figures

  Thomas Bouchet, Brice Launay, Monica Klink, Jordan Zekri.

  Cette série de meubles réinterprète le principe d’assemblage à tenon et mortaise, habituellement utilisé en charpente bois traditionnelle, associé à la déclinaison systémique des archétypes mobiliers aux formes géométriques pures.

  Par le détournement de matériau, le principe d’assemblage essentiel à la stabilité et au maintien de l’ensemble s’expose et devient ornemental, dessine un motif. Il exprime l’équilibre entre la fragilité du matériau dans cette utilisation structurelle au paradoxe de la dureté de sa surface.

  La typologie même du meuble devient une résultante de cette ornementation qui assumée guide la structure même de l’objet et son dessin.
• Réagencement d’un appartement à Boulogne-Billancourt (92)
• Exposition Cabane à la cité des sciences et de l’industrie (75)
• Rénovation et extension d’une maison à Bron (69)
  

  

  

  

  

  

  

  Rénovation et extension d’une maison à Bron (69)

  Habitat individuel

  Juin 2017 : Esquisse / Projet suspendu
  Maîtrise d’ouvrage privé
  Surface de planchers : 150 m²
  Budget : 250 000 € ht (1666 € ht/m²)

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures

  Le programme de rénovation de cette maison consiste à réaménager les deux étages avec une inversion de leurs fonctions et à créer un garage adossé à la maison.

  Notre proposition consiste à libérer l’ensemble du plateau de l’étage pour créer une grande pièce à vivre. Celle-ci s’articule autour de trois noyaux accueillant l’escalier, la cuisine et les sanitaire avec un petit bureau. Ces noyaux viennent délimiter des surfaces dédiées à une fonction spécifique en simple hauteur, alors que le reste de l’étage présente une surface libre de tout aménagement et en double hauteur.

  La création du garage est exploitée comme une opportunité de reconnecter la pièce à vivre avec le jardin. Ainsi sa toiture est utilisée comme une terrasse reliée directement à la fois au jardin et au séjour. L’ensemble des prestations neuves sont traitées de manière homogène et simple par l’utilisation des mêmes matériaux, le béton et le chêne.
• 2017
• Établissement hôtelier innovant à Saint Jean de Luz (64)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Établissement hôtelier innovant à Saint Jean de Luz (64)

  Accueil et hébergement

  Mars 2017 : Etude de faisabilité / Esquisse
  Projet suspendu (AVP)
  Maîtrise d’ouvrage privée : Kara Hotels & Resorts
  Surface de planchers : 2462 m²
  Budget : 5 500 000 ht (2200€ ht/m²)

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures
  Bureau d’étude tous corps d’état : Groupe NOX

  Collaborateur.rice.s

  Monica Klink, Jordan Zekri.

  JunXion est une proposition d’hôtellerie innovante proposant trois offres de résidence basées sur des typologies différentes : la chambre classique, le bungalow de luxe et le dortoir. Des fonctions complémentaires ou indépendantes sont associées à ces dernières : lobby, bar, restaurant, salle de sport, piscine, ateliers, cuisine, co-working, parc urbain. Cette programmation variée témoigne d’une volonté d’adresser l’établissement à une clientèle élargie aux non-résidents de l’hôtel et d’en faire un lieu de fréquentation et d’événements à l’échelle de l’agglomération.

  L’écriture architecturale interprète la réglementation, qui impose une architecture néo-régionale, en proposant des bâtiments archétypiques quasi-abstraits. Il s’agit de volumes gabaritaires simples. Les voiles de béton blanc apparents qui composent indifféremment  leur enveloppe expriment une minéralité affirmée et un effet de masse accentué par le traitement en surprofondeur des grandes ouvertures. La couverture des toits se distingue par leurs tuiles rouges caractéristiques de la région. Le pourcentage d’ouverture varie selon les typologies. Les dortoirs sont des volumes aveugles sur l’emprise des cellules dortoirs, leurs ouvertures, une par face éclairent les circulations intérieures. Au contraire, les pavillons bénéficient de larges ouvertures qui leur apportent une luminosité intérieure particulière et des vues cadrées sur le parc.

  Le lobby intégré au bâtiment principal et central se présente comme une structure ouverte aux différentes programmations. Pour cela, sa surface au sol est intégralement libérée de tous cloisonnements à l’exception des plots techniques. Il présente sur chaque face de larges baies accordéon dont l’ouverture maximisée permet une continuité des espaces vers l’extérieur. Cela constitue une opportunité d’appropriation et d’usage. L’ensemble des bâtiments s’implante de façon à renforcer les limites parcellaires. Ce micro-urbanisme tend à renforcer l’insularité du lieu qui s’affranchit ainsi de son environnement péri-urbain peu qualitatif.
• Rénovation et extension d’une Maison à Suresnes (92)
  

  

  

  

  

  

  

  Habitat individuel

  Livraison septembre 2017
  Maîtrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 38 m²
  Budget : 120 000 € ht

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures

  Collaborateur.rice.s

  Monika Klink

  Le programme de rénovation de ce pavillon comprend le réaménagement de l’étage de vie commune ainsi qu’une extension. Cette dernière s’implante au nord, sur l’emprise d’une ancienne terrasse couvrant une partie du sous-sol.

  Notre proposition consiste à reconnecter l’étage de vie commune avec le jardin et le sous sol en créant deux demis niveaux de 15 m² chacun, desservis par un escalier central commun. L’un sera de plain-pied avec le jardin et l’autre à hauteur du sous-sol en permettra l’accès par une porte existante.

  La structure béton de l’extension se réduit au minimum: une cheminée dont le conduit porte la poutre soutenant la structure bois de la toiture. Celle-ci prolonge le toit existant en s’en démarquant toutefois par l’utilisation d’ardoises en lieu et place des tuiles. Cette extension vient donc prolonger l’existant tout en permettant de lier les composantes de la maison déjà présentes (espace de vie, jardin, sous-sol).
• Reconversion d’une caisse des dépôts en pôle numérique à Dreux (28)
  

  

  

  

  

  

  

  Bureaux, pépinière d’entreprise et Fablab

  Mars 2017 : Etude de faisabilité
  Maîtrise d’ouvrage publique : Ville de dreux (28)
  Surface de planchers : 1290 m²
  Budget : 1 400 000 € ht (1085€ ht/m²)

  Equipe

  Architecte mandataire : Agence J
  Architecte associé : Figures
  Bureau d’étude tous corps d’état : LM ingénieur

  Collaborateur.rice.s

  Monika Klink

  Le projet de reconversion de l’ancienne caisse des dépôts de la ville de Dreux en pôle numérique est une réhabilitation ambitieuse du bâtiment existant, portant à la fois sur sa reconversion programmatique ainsi que sur l’amélioration de ses performances énergétiques. Le programme décline d’une part des espaces de bureaux partagés (coworking) et de création numérique en étage et d’autre part des ateliers de prototypage, découpe laser et impression 3d numérique en rez de chaussée.

  En réponse à la conjoncture d’un bâtiment inscrit à l’inventaire des monuments historiques, de la contrainte d’abondants décors apparents et d’un budget drastiquement bas, nous avons proposé avec l’agence J une stratégie d’intervention économe et ciblée.

  Si la majeure partie du budget est allouée à la mise aux normes et à l’amélioration thermique de l’enveloppe du bâtiment, la création de dispositifs adaptés aux nouveaux usages de bureaux décline une série de mobilier d’aspects filaires en structures d’acier autoportants, innervés et autonomes qui répondent à l’ensemble des besoins en terme de travail, d’assise, d’occultation lumineuse, d’absorption acoustique, d’éclairage artificiel, et d’alimentation en courant fort et faible. Ils se déclinent autour des besoins fonctionnels en bureaux, sièges, rayonnages, isoloirs, ou paravents… Le rez-de-chaussée, sans intérêt patrimonial est plus librement restructuré afin d’accueillir le fablab et ses machines de prototypages.
• Médiathèque et centre social de Cabourg (14)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Médiathèque et centre social de Cabourg (14)

  Pôle social et pôle culturel

  Avril 2017 : Concours restreint / Projet non retenu
  Maîtrise d’ouvrage publique : ville de Cabourg (14)
  Surface de planchers : 710 m²
  Budget : 1 150 000 HT (1620€ HT/M²)

  Equipe

  Architecte mandataire : Figures
  Bureau d’étude tous corps d’état : Groupe NOX
  Économiste : Groupe NOX

  Collaborateur.rice.s

  Monica Klink.

  Le programme de pôle social et culturel de Cabourg regroupe deux institutions différentes : un centre d’aide sociale et une médiathèque. Le site de projet est enclavé au sein d’un tissu urbain distendu composé de pavillons d’habitations et d’équipements publics. Le dénominateur commun de leur architecture est le pastiche du style régional.

  La singularité de notre proposition consiste en l’individualisation des programmes en deux bâtiments distincts disposés en

  vis-à-vis. Le plan de chacun reprends la forme d’un L, de façon à circonscrire une cour centrale identifiable et organiser la mise à distance d’un contexte peu qualitatif. L’accès à leurs entrées respectives s’identifie facilement dans leurs plus petits corps de bâti. Ces deux volumétries conjuguent l’expression gabaritaire du PLU à la reinterprétation de l’archétype local.

  Le pôle social bénéficie d’une paroi verticale périmétrique intégralement vitrée. Sa toiture est divisée en dix pans contrariés dont les faîtages sont orientés transversalement au bâtiment. Son volume intérieur est structuré par ce jeu de toiture dont la projection verticale délimite les bureaux regroupés dans un volume unique. Enfin un mobilier central structure et distribue transversalement l’espace sur toute la longueur du bâtiment. Affleurant l’égout des rampants intérieurs, la toiture semble posée sur celui-ci.

  À l’inverse, l’architecture de la médiathèque a l’expression monolithique adopte un faîtage orienté longitudinalement. Le monumental volume intérieur est traversé, par une circulation axée, et subdivisé par les rayonnages qui forme les alcôves périphériques. L’espacement de ceux-ci laisse place aux grandes ouvertures carrées qui accueillent en allège une assise intérieure et extérieure. La façade d’accueil l’identifie comme un équipement culturel en le singularisant de son environnement par un détournement de la traditionnelle toiture à double pente.
• Centre de recherche et développement de Proteor à Dijon (21)
• 2016
• Réagencement d’un appartement à Lyon 7 (69)
• Création d’un restaurant à Meaux (77)
• Création d’un restaurant à Sens (89)
• 2015
• Réagencement d’un appartement à Lyon 6 (69)
• Bibliothèque nationale, à Copenhague (Danemark)
• Centre socio-culturel de Reinosa (Espagne)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Pôle social et pôle culturel

  Décembre 2014 : Concours ouvert / Projet non retenu
  Maîtrise d’ouvrage publique : ville de Reinosa (Espagne)
  Surface de planchers : 860 m²
  Budget : 1 290 000 ht (1500€ ht/m²)

  Equipe

  Architectes : Thomas Bouchet et Ondine Masson
  Images : Brice Launay

  Notre projet pour la construction d’un centre social et culturel à Reinosa propose de conserver l’enceinte formée par le mur de l’ancien marché. Outre la force symbolique de ce vestige, la pérennisation de cette limite offre d’intéressantes potentialités pour inscrire un nouveau bâtiment dans le tissu urbain environnant.

  Quatre bâtiments s’implantent de manière à dessiner en leur centre un carré évidé. Vaste patio central à vocation de place publique, l’ensemble est circonscrit par le mur d’enceinte et incliné de 45 degrés par rapport à celui-ci. Il entre à son contact au milieu de chacun des quatre cotés et s’en éloigne dans les angles. Cette disposition formelle génère quatre espaces interstitiels triangulaires entre le mur et le projet. Chacun de ces espaces est lié à un programme spécifique et deux d’entre eux bénéficient d’une entrée propre existante dans le mur.

  Les bâtiments peuvent s’ouvrir latéralement au RDC. En devenant traversant ils permettent à leurs programmes de s’étendre à l’extérieur ou de moduler leurs limites selon leurs besoins. Ce dispositif systématisé aux quatre entités du projet met en place les conditions pour une appropriation spécifique du lieu, son évolution possible ou la réversibilité du programme. Chacune de ces entités peut venir activer individuellement la place, générer de l’usage ou bien fonctionner de concert avec les trois autres.
  La volumétrie de l’ensemble est donc la résultante de l’expression d’un espace public.
• 2014
• Réagencement d’un appartement à Paris (75)
• Maison neuve à Vacqueyras (84)
• 2013
• Rénovation et extension d’une maison à Fontenay-sous-bois (94)
• Rénovation d’une maison à Chignin (73)
• Rénovation et extension d’une maison à Malakoff (92)
• Pavillon de jardin à Malakoff (92)
• 2012
• Extension d’une maison à Fouesnant (29)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Habitat Individuel

  Livraison : septembre 2014
  Maîtrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 163 m² (projet) 278 m² (total)
  Budget : 400 000 € ht (2450€ ht/m²)

  Equipe

  Architecte mandataire : BLVO architectes (Brice Launay et Violaine Ouvrard)
  Bureau d’étude thermique : Le Bureau vert
  

  La maison actuelle à l’aspect architectural néo-traditionnel local n’est occupée qu’une partie de l’année. Le maître d’ouvrage souhaite en faire sa résidence principale par un doublement de la surface existante et la création d’un nouvel espace de vie entre intérieur et extérieur apparenté à un jardin d’hiver.

  Dans la continuité du volume bâti existant se prolonge à l’Est une nouvelle construction sur deux niveaux, reprenant strictement le gabarit actuel de la maison. Elle adopte à l’identique les matériaux utilisés pour le parement de façade et le revêtement de toiture. Au Sud Sud-Ouest de la maison et sans interruption avec le volume décrit ci-dessus se déroule l’autre partie de l’extension sur un seul niveau de faible hauteur. La toiture horizontale laisse émerger en second plan la toiture existante. Les façades se décomposent en alternant des plans largement vitrés toute hauteur avec des plans opaques épaissis par leur revêtement massif de pierre locale, composées de moellons de schiste ardoisier à la finition brute ou sciée, appareillés en lits horizontaux rectilignes à joints secs.

  Des espaces extérieurs, patios, terrasses et jardins abrités sont créés à l’entre-deux, à l’interstice de la maison existante et de l’extension. L’existant et l’extension, l’intérieur et l’extérieur, les différents espaces créés, sont séparés par des parois vitrées qui permettent toujours une connexion visuelle.
• Maison neuve à Cravent (78)
  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  Habitat individuel

  Livraison : Novembre 2013
  Maîtrise d’ouvrage privée
  Surface de planchers : 115 m²
  Budget : 165 000 ht (1450€ ht/m²)

  Equipe

  Architecte mandataire : BLVO architectes (Brice Launay et Violaine Ouvrard)
  Bureau d’étude thermique : Le bureau vert

  Cet ancien verger encore planté est parsemé d’arbres fruitiers et encerclé d’arbres de hautes tiges ; il offre un site d’une grande qualité paysagère.
  De forme rectangulaire simple, la maison vient se poser sur un ensemble de plots béton détaché du sol. Elle s’implante dans l’axe de la parcelle. Trois de ses façades sont intégralement vitrées. Cette construction bardée de mélèze brut de scierie, à la toiture plate végétalisée, est de faible hauteur. Largement dominée par de grands arbres environnants et par les constructions les plus proches, la maison s’intègre ainsi avec discrétion dans l’environnement naturel paysagé.

  L’organisation spatiale interne se séquence en deux parties : au Sud un grand espace de vie qui réunit en un seul et même volume, salon, séjour, cuisine et salle à manger, en contact visuel direct avec l’extérieur. Les deux chambres et pièces de services s’articulent à l’arrière de celui-ci et s’appuient sur la façade nord, percée d’une seule ouverture destinée à apporter une vue traversante.

  Le volume compact permet de diminuer les pertes énergétiques, sa faible profondeur d’optimiser les apports de lumière naturelle et de chaleur liés à l’ensoleillement.
• Réagencement d’un appartement à Chambéry (73)
• Rénovation d’une maison à Englos (59)
• 2010
• Réagencement d’un appartement à Courbevoie (92)
• Musée des Beaux-Arts de Maribor (Slovénie)

Distinctions

• Les 100 projets 2023/2024 archistorm
• Prix 10+1 D'Architecture 2023
• 2019 lauréat, 40 under 40 european architects
• 3e prix, concours otua 2008
• 3e prix, concours cimbéton 2007
• lauréat workshop international ensag 2006

Expositions • Conférences • Publications

• Projet de salle des fêtes à la Norville publié dans architecktur aktuell 536 - 11.2024
• Portrait de Figures Architectes dans l'ingénieur constructeur, revue ESTP de février 2024
• Projet de salle des fêtes à la Norville publié dans le hors série bi-annuel Archistorm 2023/2024, le meilleur de l'architecture, les 100 projets
• Projet de salle des fêtes à la Norville publié dans D'A 311 octobre 2023
• 22.05.2021 au 21.11.2021, YEA exhibition - Young European Architects, CA'ASI, 17th International Architecture Exhibition, La Biennale di Venezia
• New Talented Generation of European Architects and Designers 2, Metropolitan Arts Press Book, 2019, ISBN. 0-935119-74-4
• 07.06.2019 au 30.06.2019, exposition 40 under 40 au European Centre à Athènes
• 26.02.2019 au 21.04.2019, exposition Haute Agora au pavillon de l’arsenal à Paris
• 23.11.2018 au 04.02.2018, participation au cadavre exquis sous le commissariat de Jean-Christophe Quinton, exposition Haute Agora à la Cité Radieuse Le Corbusier à Briey par l’association La Première Rue
• Concours pour le centre culturel de Reinosa avec Ondine Masson publié en ligne sur Afasia
• Concours pour la médiathèque et le centre social de Cabourg publié en ligne sur Afasia et Divisare
• 2010, Conférence à l’Ecole Spéciale d’Architecture à Paris, La Communauté² = l’Infrastructure ² + le Territoire² ", par Thomas Bouchet